🎬 Le film du match
Les Monégasques installent vite leur 4-4-1-1 : Vanderson et Ouattara montent haut sur les côtés, Zakaria et Bamba assurent la stabilité, tandis que Balogun navigue entre les lignes. Auxerre, en 5-4-1 compact, laisse le ballon (~32 % de possession) et cherche la profondeur via Mara et Namaso. Après plusieurs alertes (frappe de Balogun, centre d’Akliouche), Minamino ouvre le score juste avant la pause : servi par Balogun, l’ailier japonais croise sa frappe (45+2’).
Au retour des vestiaires, Auxerre hausse son bloc. Casimir et Mensah multiplient les débordements, et l’égalisation survient à la 73ᵉ minute : sur un centre de Mensah, le défenseur monégasque Salisu dévie dans ses propres filets (1–1). L’ASM croit reprendre l’avantage sur penalty (Zakaria), mais le VAR annule la décision.
Le tournant intervient finalement à la 89ᵉ minute : Vanderson déborde côté droit et centre fort. Ilenikhena, fraîchement entré, coupe de la tête au second poteau pour offrir la victoire à Monaco. Les Bourguignons poussent dans le temps additionnel mais Köhn s’interpose sur une tentative d’Osman. Coup de sifflet final : succès 2–1 de l’ASM.
📝 Compositions & remplaçants
Auxerre (5-4-1)
De Percin — Senaya, Siwe, Mensah, Oppegård — Casimir, Owusu, Danois, Namaso — Mara
Entrés : L. Coulibaly (65’), Matondo (77’), Osman (90’)
Monaco (4-4-1-1)
Köhn — Vanderson, Kehrer, Salisu, Ouattara — Akliouche, Zakaria, Bamba, Minamino — Balogun — Biereth
Entrés : Caio Henrique (63’), Brunner (63’), Camara (78’), Ilenikhena (78’), M. Coulibaly (90+2’)
📊 Les chiffres qui racontent
| Statistique | Auxerre | Monaco |
|---|---|---|
| Possession | 32 % | 68 % |
| Tirs (cadrés) | 9 (2) | 13 (3) |
| Corners | 5 | 8 |
| xG (expected goals) | 0,67 | 1,45 |
🌟 Homme du match (presse)
Vanderson : inlassable piston droit, centres réguliers et passe décisive sur le but vainqueur. Son activité a pesé tout au long du match.
🔎 Décryptage tactique
Auxerre : mis en place en 5-4-1, le promu a cherché avant tout à fermer l’axe et à exploiter les transitions. Les pistons (Mensah, Senaya) ont essayé d’apporter du soutien, Casimir a offert de la percussion, et la discipline défensive a été globalement respectée. Le pressing a provoqué le c.s.c. de Salisu, mais les Bourguignons ont manqué d’efficacité dans la conservation du ballon et dans le dernier geste offensif.
Monaco : organisé en 4-4-1-1, l’ASM a contrôlé la possession et imposé ses circuits latéraux. Vanderson et Ouattara ont constamment étiré le bloc adverse, Zakaria et Bamba ont tenu le rythme au milieu, et Minamino a souvent attaqué les intervalles. Malgré un moment de flottement (c.s.c. concédé), l’équipe a montré du caractère en repassant devant grâce à l’impact de son banc. Reste à améliorer : la gestion des transitions défensives et la finition (seulement 3 tirs cadrés sur 13).
🔄 Ce que l’avant-match avait annoncé
- Pressing auxerrois : prévu comme clé → il a mené au c.s.c. de Salisu.
- Transitions monégasques : anticipées → elles offrent le but de Minamino puis celui d’Ilenikhena.
- Duels annoncés : Sinayoko vs Kehrer a bien été un affrontement clé.
- Surprise : Vanderson, moins attendu, a été l’homme du match.
➡️ L’avant-match avait donc bien identifié les leviers qui ont façonné le scénario final.
✅ Ce qu’on retient
- Monaco poursuit sa bonne série et reste en haut du classement.
- Auxerre combatif, récompensé par l’égalisation, mais trop fragile pour tenir.
- Vanderson a tout changé côté monégasque.
Classement (après 4 journées)
- AS Monaco : 9 pts (3ᵉ)
- AJ Auxerre : 3 pts (15ᵉ)
- Leader : PSG avec 9 pts
Classement simplifié — source : Ligue 1.
Transparence & sources
Statistiques issues de la Ligue 1, ESPN et Fotmob (possession, tirs, corners, xG). Récit construit à partir des comptes rendus presse et données officielles. Contenu informatif et neutre (sans incitation aux paris).
❓ FAQ
Qui a marqué ?
Minamino (45+2’), Salisu c.s.c. (73’), Ilenikhena (89’).
Pourquoi Monaco l’emporte ?
Domination du jeu, transitions efficaces et impact du banc.
Qu’avions-nous anticipé dans l’avant-match ?
Le pressing auxerrois, les transitions rapides de Monaco et les duels Sinayoko–Kehrer. Ces éléments ont bien pesé sur le résultat final.


